DLC, DDM, DLUO ? kesako ?

DLC, DDM, DLUO ? kesako ?

Le réchauffement climatique et tous ses effets directs et indirects, canicule, sécheresse doivent aussi nous pousser à revoir nos façons de consommer et en premier lieu à revoir nos modes de consommation alimentaire !

Pourquoi ? Depuis de très nombreuses années, le sujet revient plus fort  à chaque crise !

Le gaspillage alimentaire est un fléau, une honte pour nos sociétés dites « modernes » , une injustice et une insulte pour ceux qui ne peuvent avoir accès à la nourriture de façon « normale et régulière », 1 personne sur 6 souffre de malnutrition dans le monde.

Toujours plus dans nos assiettes, toujours plus dans nos frigos, on stocke et…on jette !

Des efforts considérables ont heureusement été réalisés, la prise de conscience est là, mais c’est encore insuffisant.

En moyenne, chaque année plus de 1 milliard de tonne de nourriture jetée (10 million de tonne rien qu’en France) , 1/3 des aliments produits sur la planète finissent à la poubelle ! (source France Nature Environnement)

Il y a de la pédagogie à faire, des informations, des bonnes pratiques de consommation et de conservation des produits alimentaires à transmettre, les industriels nous vendent des produits alimentaires sur lesquels se trouvent des dates, qui sait précisément à quoi ces dates correspondent ?

Ces dates font peur, elles incitent à jeter, à racheter et donc à consommer toujours plus…

Lorsque nous réalisons les formations « hygiène alimentaire en restauration commerciale », nous nous rendons compte que parfois, même des futurs professionnels, ne font pas clairement la distinction entre tous ces termes.

Combien de fois avons-nous entendu autour de nous, de la part de nos proches, de nos familles, « la date est passée, je jette, pas envie d’être malade ! » Mais de quelle date parle t-on ?

Petit lexique pour mieux comprendre :

DLC : DATE LIMITE DE CONSOMMATION, on peut trouver son équivalent sur les étiquettes « à consommer jusqu’au… ou avant le… »

La DLC est apposée sur les produits frais et ultra frais, principalement sur des denrées d’animale et d’origine animale ou des produits transformés.

Cette DLC signifie que le fabricant vous indique qu’au-delà de la date indiquée, il ne garantit plus la sécurité sanitaire du produit, sa qualité microbiologique, donc que potentiellement l’aliment pourrait éventuellement vous rendre malade.

Un yaourt dont la DLC est dépassé depuis1 jour, 2 jours, 3 jours est-il réellement dangereux ? La réponse est NON !

En cas de doute, vous le verrez rapidement en ouvrant l’opercule !

Idem pour des tranches de jambon, si l’aspect est normal, la couleur et l’odeur aussi, ne vous inquiétez pas, vous n’allez pas décéder dans le quart d’heure qui suit !

La condition de cette souplesse c’est que le produit doit être conservé à la bonne température, la fameuse chaine du froid !

Vous avez aussi la possibilité de cuire un produit dont la DLC est courte ou atteinte (poulet frais emballé), vous donnerez à ce produit une nouvelle vie de 3 jours maximum, ça vaut le coup, non ?

Que les choses soient claires, nous ne vous incitons pas à consommer des produits en DLC dépassée, mais avec un peu de bon sens, vous saurez vous-même facilement si l produit est consommable ou non !

Lorsque l’on parle de DLC dépassée, là encore, on parle de 1, 2, 3 jours mais de 2 semaines !

DDM : DATE DE DURABILITE MINIMUM, REMPLACE LA DLUO : DATE LIMITE D’UTILISATION OPTIMALE, son équivalent étant « à consommer de préférence avant le… »

La DDM / DLUO est apposée sur des produits secs, épicerie, boissons, épices, biscuits et sur des produits surgelés.

Quel est le message : le fabricant vous garantit que le produit conservera jusqu’à la date indiquée toute ses qualités, couleur, saveur, souplesse… et après ?

Après ? RIEN !  Vous ne risquez rien à consommer des produits en DDM / DLUO dépassée et largement dépassée.

Au goût vous risquez d’être déçu, c’est tout ! Vous ne mourrez pas non plus dans la demi-heure qui suit !

Nous allons même aller plus loin, vous avez acheté des steaks hachés surgelés que vous avez oublié au fond de votre congélateur, la DDM /  DLUO est passée de 1 ans, les steaks sont pas jolis, un peu rabougris, vous pouvez les consommer sans risque, sans doute le régal ne sera pas au rendez-vous mais vous ne risquez rien !

La même condition doit être respectée, la température de congélation, -18°C maximum !

Ne jetez donc pas les produits dont les DDM et DLUO sont dépassées, cela n’a pas de sens, en revanche cela a un coût, pour vous et pour la planète ! À moins que vous œuvriez pour les industriels et grandes surfaces qui se feront un plaisir de vous les revendre, et de plus en plus cher ! Cela ne vous a pas échappé !

QUID DES PROFESSIONNELS, NOTAMMENT LES RESTAURATEURS ?

Concernant les produits en DLC, à ce jour rien ne les autorise à conserver un produit dont la DLC est dépassée, il s’agirait, en cas de contrôle d’une infraction.

L’infraction peut coûter jusqu’à 1500€, et encore il faut qu’il n’ya ait pas de doute sur votre volonté de frauder, sinon on considérera que c’est une négligence et vous vous tirerez à bon compte !

Maintenant il est certain que si vous avez été « négligent » sur 10 poulets, 15 kg de merguez et 5 plaques de jambon tranché, ça risque de moins bien se passer !

Pour les DLUO, en revanche, peut-être qu’un rappel vous sera fait, mais en aucun cas il ne s’agira d’une infraction !

Il existe donc des moyens simples de limiter le gaspillage alimentaire et de faire des économies.

Prenez le temps de lire les étiquettes et de faire le tri, achetez uniquement ce dont vous avez besoin, éviter de stocker et de faire des réserves, pas de pénurie à l’horizon…

Vous avez besoin de conseils, d’aide, d’accompagnement ? Contactez-nous sans tarder 

ArteFAQS vous accompagne pour sécuriser vos pratiques en matière de sécurité alimentaire dans vos établissements de restauration commerciale ou collective (restauration traditionnelle, restauration rapide, collectivités…)

Nous vous proposons la réalisation d‘inspection selon la norme NF V01-015 et la formation obligatoire  spécifiques Hygiène alimentaire en restauration commerciale

Avoir la peau du bilan !

Avoir la peau du bilan !

Un mot fourre tout et un peu effrayant : le bilan.

Faire le bilan après un carambolage de vie (chômage, divorce), faire un bilan d’activités (indispensable dans une grosse structure mais chronophage et laborieux), déposer le bilan (renoncement et faillite). Mais fort heureusement, il y a une facette plus lumineuse : le bilan de compétences, un voyage qui part de vous vers un inconnu merveilleusement nouveau.

Il s’agit de vous offrir une pause réflexive, un moment de retour sur soi et d’introspection.

Dans nos mondes survoltés, au milieu de nos carrières effrénées, ces moments d’arrêt sont rares voire
inexistants, c’est un luxe de pouvoir s’y abandonner… Vous commencerez par poser un regard neuf
sur votre parcours, la personne que vous êtes maintenant, mature et aguerrie va regarder les étapes passées, les études entreprises, les postes et expérimentations et donner son avis.

Qu’est ce qui lui a plu ? Qu’est-ce qui l’a vaccinée à jamais ? Quelles qualités a-t-elle mises en œuvre etc…
Le tout va constituer la première partie d’une sympathique boite à outils que vous allez emmener
avec vous sur les routes de la découverte.

Car c’est la deuxième étape de cet enthousiasmant périple.

Vous allez étoffer cette belle boite à outils avec l’aide de votre consultant/praticien/coach et d’un ou plusieurs tests validés scientifiquement (je vous rassure avec ce dernier adverbe car le mot test renvoie aux niaiseries des magazines féminins que vous faites distraitement dans le train pour savoir si vous êtes une obsessionnelle du ménage ou une amazone des sports extrêmes).

Vous saurez alors avec plus de précisions faire le tour de vos envies, ressources, besoins, valeurs etc… Vous discernerez les multiples pistes opérationnelles ou oniriques qui s’offrent à vous.

Et la dernière étape sera évidemment de choisir celle qui semble la plus pertinente, la plus à même
de vous guider vers l’élaboration et la réussite de votre nouveau projet.

Un projet qui n’appartient qu’à vous, qui sera fait sur mesure, qui envisagera les options les plus pertinentes, mesurera vos chances de réussites. S’ouvriront alors devant vous de nouvelles idées de formations, de métiers, de postes ou missions….

Donc n’hésitez pas à avoir la peau du bilan, vous pourrez vous en draper fièrement pour aller au
devant de nouvelles aventures !

Vous hésitez, regardez cette courte vidéo, nous vous expliquons tout ! 

Plus d’informations, nous contacter : 

09.81.04.18.18 / artefaqs.formation@gmail.com / formulaire de contact

Le premier rendez-vous est sans engagement et entièrement gratuit ! 

Vous pouvez financer votre bilan de compétences avec votre CPF, n’attendez plus ! 

Arnaques et fraudes au CPF ! Attention !

ARNAQUES ET FRAUDE AU CPF ATTENTION !

Nous sommes nombreux à être sollicités sans arrêt par des organismes de formation (à vérifier s’ils le sont vraiment) qui veulent nous pousser à utiliser notre budget CPF – Compte Personnel Formation.

Les arguments sont nombreux et FAUX !

En voici quelques uns :

Pour commencer, demander à l’organisme son numéro d’enregistrement auprès de la DIRECCTE comme organisme de formation et contrôlez le, c’est simple et rapide !

Ces organismes vous disent que si le crédit formation que vous avez sur votre CPF n’est pas utilisé avant la fin de l’année, il sera perdu : FAUX, le budget est acquis, si vous ne l’utilisez pas il restera au crédit de votre compte durant toute votre vie professionnelle

Toutes les formations sont éligibles au CPF : FAUX, seules les formations enregistrées dans un répertoire spécifique géré par France Compétences le sont, certaines formations obligatoires peuvent également l’être, les bilans de compétences le sont, renseignez-vous avant, directement auprès de votre interlocuteur CPF !

Tous les organismes de formation peuvent proposer un catalogue de formation éligibles au CPF : FAUX, l’organisme doit être certifié qualité QUALIOPI d’une part  et répondre à des critères de certification, validés par France Compétences d’autre part

L’organisme de formation peut se charger de la demande de formation, il suffit de lui transmette mes identifiant et mot de passe : FAUX et surtout DANGEREUX ! En plus de ne pas suivre de formation, vous risquez de vous faire « siphonner » votre budget, vos identifiants et mot de passe ne doivent jamais être communiqués à qui que ce soit !

Dès que la demande de formation est enregistrée, la formation peut démarrer : FAUX, un délai de rétractation de 14 jours est prévu entre la demande et le démarrage de la formation, vous pouvez changer d’avis, sans risquer de perdre votre budget, sans avoir à justifier votre changement d’avis !

Exemple de fraude que nous constatons et dont nous sommes également victimes :

La formation PERMIS D’EXPLOITATION, obligatoire pour exploiter une licence débit de boissons ou restaurant n’est pas éligible au CPF, elle l’a été,  elle ne l’est plus.

Des organismes vous proposeront malgré tout de la financer (souvent en associant la formation obligatoire Hygiène alimentaire en restauration commerciale) en faisant une demande formation qui n’a rien à voir avec, on va vous proposer de vous inscrire à une formation « création d’entreprise » par exemple.

La formation qui vous sera proposée coutera aux alentours de 1400€, mais qu’importe on vous expliquera que c’est le prix à payer pour n’avoir justement…rien à payer !

Bien vu, me direz-vous, et après tout je fais ce que je veux de mon budget ?

Pas tout à fait !

Il s’agit d’une FRAUDE !

L’organisme ayant commis l’infraction comme le bénéficiaire qui en a été complice pourront  être poursuivis !

Que risquez-vous : de devoir rembourser la somme utilisée, perdre votre permis d’exploitation et votre accès à votre compte CPF !

Au-delà de la fraude, ces pratiques crapuleuses mettent en péril les organismes de formation qui respectent la loi, mettent aussi en péril le fonctionnement même du CPF et les avantages que chaque salarié peut en retirer !

Il est de notre devoir collectif de faire cesser ces pratiques !

Merci

Les licences 3 sont gratuites, mais je n’ai aucune garantie de l’obtenir, vrai ou faux ?

Les licences 3 sont gratuites, mais je n’ai aucune garantie de l’obtenir, vrai ou faux ?

C’est vrai…et faux !

L’article L. 3332-1 du CSP vient préciser la règle des quotas.

Néanmoins, il faut savoir que dans certains cas, le texte apporte une souplesse pour les communes touristiques, pour lesquelles les modalités de détermination de la population prise pour base de cette estimation seront déterminées par décret.

Les licences dites de débits de boissons, licences 3 et 4 sont soumises à des quotas sur chaque commune.

Ce quota est de 1 licence débits de boissons (3 ou 4) pour 450 habitants.

450 habitants dans la commune = 1 licence 3 ou 4, 900 habitants = 2 licences 3 ou 4, 20 000 habitants 44 licences 3 ou 4, etc…

Si le quota est dépassé dans votre commune, la mairie ou la police administrative ne vous délivrera donc pas de licence 3.

Notez qu’aucune mairie ne vous délivrera de licence 4.

Si le quota n’est pas dépassé, elle pourra en effet vous remettre une licence 3 gratuitement.

Vous aurez la possibilité de faire l’acquisition d’une licence 3 (payante) au sein de votre département et d’entamer les démarches de transfert auprès du Préfet de ce même département.

Cependant, d’autres éléments peuvent rendre impossible l’obtention et  l’exploitation d’une licence 3.

Partons du principe que le quota n’est pas dépassé dans votre commune :

La mairie refuse pourtant de vous octroyer une licence 3, pourquoi ?

Plusieurs cas peuvent se présenter :

  • Votre établissement est proche d’un établissement protégé comme une école ou un établissement de santé par exemple (liste des établissements concernés dans arrêté préfectoral)
  • Votre établissement est proche d’un autre établissement pourvu d’une licence débit de boissons (arrêté municipal)
  • Votre bail commercial ne prévoit pas une activité de débits de boisson, bar, brasserie

Dans le cadre du rachat d’un fonds de commerce, si, en revanche la licence 3 est déjà attachée à l’établissement, elle ne pourra pas dans la plupart des cas vous être retirée.

Attention, dans le cadre de la vente d’un fonds de commerce, la mairie a le droit de préempter le fonds, c’est à dire de le racheter.

Il y a donc obligation d’informer la mairie de la vente du fonds, cette dernière a 2 mois maximum pour se positionner.

Soyez donc très rigoureux avant de vous lancer, renseignez vous auprès de la mairie avant de signer votre bail commercial, regardez attentivement les activités prévues dans ce même bail.

Prenez le temps, faites vous conseiller, accompagner dans vos démarches.

Plus d’infos : https://www.artefaqs.eu/formation-permis-dexploitation/reglementation-applicable-a-lobligation-de-formation-permis-dexploitation/

Contact : 09.81.04.18.18 ou artefaqs.formation@gmail.com

Prochaines sessions de formation permis d’exploitation : 5 au 7 septembre et 19 au 21 septembre 2022 en visioconférence

Dur, dur de trouver le bon organisme pour obtenir son permis d’exploitation, à quel organisme faire confiance pour suivre la formation permis d’exploitation ?

Dur, dur de trouver le bon organisme pour obtenir son permis d’exploitation, à quel organisme faire confiance pour suivre la formation permis d’exploitation ?

  • Pourquoi est-ce si compliqué de trouver le bon organisme de formation permis d’exploitation ?
  • L’organisme de formation doit il être agréé, si oui par qui ?
  • Quel est le bon prix de la formation permis d’exploitation ?
  • Quelle est la durée de la formation permis d’exploitation, 20 heures, 7 heures, 6 heures ?

Partage d’expérience, paroles de professionnels

Angélique a suivi la formation permis d’exploitation  en 2021, elle nous raconte son expérience :

« Trouver un organisme de formation a été une vraie galère, j’ai appelé pas moins de 10 organismes, chacun sa version, fabuleux !

Quasiment tous ont été d’accord pour m’indiquer que la formation durait 20 heures, réparties sur 3 jours ou sur 2.5 jours, sauf deux ! Un qui m’a parlé de 21 heures et un autre qui m’a expliqué qu’il existait une version accélérée de 7 heures.

Les tarifs qui m’ont été proposés variaient de 199€ à plus de 800€, surprenant pour une formation obligatoire gérée par l’état.

Certains m’ont dit que je pouvais payer avec mon CPF (en passant par un financement de formation sur la création d’entreprise) et d’autres, au contraire,  m’ont dit que c’était illégal.

La formation m’a été proposée en présentiel, mais sans garantie qu’elle ait bien lieu (si pas assez de participants), ou à distance soit en visioconférence soit en E-Learning.

Concernant l’agrément permis d’exploitation , certains organismes sont agréés par le ministère de l’intérieur, d’autres par la préfecture !

Le choix a été compliqué et malheureusement pour moi je n’ai pas fait le bon !

J’ai donc suivi ma formation permis d’exploitation de 20 heures sur 2.5 jours (9h00 12h00 / 13h00 18h00 les 2 premiers jours et 8h30 12h30 le dernier) en visioconférence.

Cela n’a pas été aussi long que ça puisqu’en fin de journée, lorsque le formateur se rendait compte que nous décrochions tous, interrompait la formation, ça veut dire qu’au lieu de finir à 18h00, on a arrêté à 17h30 le premier jour et à 17h35 le second ! Les pauses en matinée et après-midi ont duré plus  de 20 minutes chacune, au final la formation a duré à peine plus de 17 heures.

Je n’ai jamais vu ni entendu la voix d’un juriste ou d’un avocat, le formateur certes très professionnel n’avait jamais étudié le droit.

J’ai donc payé plus de 400€ pour une formation en visioconférence de 17 heures, animée par un seul formateur.

Sauf que je ne savais pas tout cela avant de suivre la formation et que, renseignements pris je me suis faite avoir !

  • Je vous confirme que la formation permis d’exploitation en E-Learning est interdite !
  • La version accélérée n’existe pas !
  • Concernant le prix, chaque organisme est libre, en revanche interdiction de payer avec le CPF, quel que soit le nom donné à la formation.
  • L’agrément était décerné avant par le ministère de l’intérieur, aujourd’hui par les préfectures.
  • Qu’exige cet agrément ? La présence obligatoire de 2 formateurs, un formateur professionnel ayant 5 ans d’expérience minimum dans les métiers des bars, cafés et restaurants et un formateur titulaire d’un master 2 en droit ! 

J’ai aujourd’hui démarré mon activité, mais je me suis rendu compte qu’au niveau réglementation mes connaissances étaient hyper light, en particulier j’ai regretté qu’on ne m’ait pas davantage expliqué la réglementation sur les baux commerciaux, j’ai entendu parler trop tard de la loi Pinel, dommage car  j’aurai pu faire des économies, en particulier sur les travaux qui restent à la charge du bailleur.

J’aurais aimé aussi qu’on m’explique la différence entre arrêté préfectoral et municipal, j’aurais aimé entendre parler plus dans le détail des fermetures administratives.

Je ne me suis pas plainte auprès de l’organisme pour ces manquements, le formateur a été super sympa, très cool mais je comprends beaucoup mieux maintenant pourquoi cette formation est obligatoire et aussi pourquoi la présence d’un juriste ou d’un avocat est si importante, si mon témoignage peut servir à d’autres futurs exploitants, alors tant mieux, cela aura au moins servi à ça »

Quels sont les critères qui doivent vous conduire à choisir le bon organisme de formation au permis d’exploitation ?

L’organisme doit être agréé par l’état, par le ministère de l’intérieur et par les Préfectures depuis 2020.

La durée de la formation varie en fonction des cas :

  • Si vous n’avez jamais exploité de licence, la durée est de 20 heures
  • 7 heures pour un renouvellement ou pour un permis chambre avec table d’ hôtes.

La formation doit être proposée sur 3 jours, elle peut être animée en présentiel et à distance mais pas en E-Learning.

Le programme de la formation permis d’exploitation est défini dans le code de la santé publique.

Le prix de la formation est libre, mais le prix doit comprendre le respect de la durée, le respect du programme de la formation défini dans le code de la santé publique et aussi et surtout la présence de 2 formateurs un professionnel ayant au moins 5 années d’expérience dans les métiers des CHR et un formateur titulaire d’un master 2 en droit.

Comme l’indique Angélique B, la présence du juriste ou de l’avocat est essentiel, en effet la formation permis d’exploitation entraine pour l’exploitant un grand nombre d’obligations qui entrent de fait sa responsabilité civile et aussi pénale, il est donc primordial de maîtriser la réglementation, les principes de responsabilité, les cas de mises en causes de l’exploitant, de mise en dangers de la vie d’autrui, pour savoir comment s’en prémunir et comment réagir face à de telles situations.

ARTEFAQS est agréé depuis 2012 et vient d’obtenir son second renouvellement en février 2022.

Cet agrément est valable 5 ans et il valide que l’organisme répond aux critères définis par la réglementation.

Cet agrément est valable 5 ans et il valide que l’organisme répond aux critères définis par la réglementation, Eloïse, Amanda et Manuarii nos avocates et notre juriste animent en collaboration avec Laurent, Christian et Hélène les formations permis d’exploitation

Nous proposons la formation permis d’exploitation à distance en visioconférence, la formation dure 20 heures, les horaires sont généralement pour les 2 premiers jours 8h30 12h30 / 13h30 16h30, 8h30 12h30 13h30 / 15h30 le dernier jour.

Nous vous proposons 2 dates de sessions par mois.

Le tarif unique de la formation est de 340€ net pour 20 heures de formation.

Les supports de la formation, les affichages relatifs à l’ivresse publique, le tabac…sont accessibles sur notre site internet tout comme plusieurs autres supports documentaires (accessibilité, sécurité incendie…), un code personne est transmis à chaque participant en fin de formation.

Nous assurons également le service après-vente de la formation, nous restons en effet à votre écoute pour répondre à vos questions, vos inquiétudes…ou pour nous informer de votre ouverture !